recherche infirmière pour croisière. Oui, oui, c'est une offre d'emploi ! Bon anniversaire Mélanie
Le blog de l'infirmier
Un infirmier s'exprime, souvent avec humour et en décalé. La réalité est néanmoins bel et bien là :
Réaction au témoignage infirmier sur leparisien.fr :
Dans un article du 31.03.2010, le quotidien Le Parisien parle des difficultés que rencontrent les Infirmiers pour exercer leur profession. Article renforcé par le témoignage de 3 infirmiers qui n’hésitent pas à balancer ce qui n’est au fond, que la réalité.
«J'ai parfois l'impression qu'on veut nous réduire à la fonction de pousse-seringue… » Vincent Lanza, 45 ans, ne cache pas son amertume. Infirmier depuis vingt ans, il manifestait hier, avec Sophie et Séverine, ses deux collègues de l'hôpital Tenon (Paris XX e ), pour défendre les retraites de la profession. « Aujourd'hui, déplore-t-il, on ne sait pas faire aussi bien qu'il y a vingt ans, alors que les moyens techniques ont progressé. » Même constat de la part de Sophie, 38 ans, dont dix-huit en tant qu'infirmière spécialisée en gériatrie : « Au fil des ans, on nous a fait perdre la logique du travailler ensemble, de la solidarité. » La faute, selon ces professionnels, aux réorganisations mises en oeuvre à l'hôpital. « Notre pôle (NDLR : entité créée par la loi Bachelot de 2005) englobe la médecine interne, la neurologie, la psychiatrie, la gériatrie et les urgences. Cela fait plus d'une centaine de patients », souligne Sophie. « Je change souvent de service et, à chaque fois, de façon de travailler », soupire Séverine, 25 ans. Conséquence : « Cela a un impact sur la qualité des soins : les pathologies ne sont pas les mêmes, les médecins sont différents, on ne connaît pas les patients. C'est très stressant », souligne Sophie. « On perd le sens de notre métier », se désole Vincent. Quant à la réforme en cours de l'Assistance publique, elle se traduira par le regroupement de leur hôpital, Tenon, avec trois autres hôpitaux parisiens (Saint-Antoine, Trousseau, Rothschild). « Le risque, c'est que l'on se retrouve à être envoyé dans ces différents établissements », s'inquiète Séverine. Autre point noir : les 35 heures. Les hôpitaux n'ont pas assez embauché pour contrebalancer les effets de la réduction du temps de travail. « On n'arrive pas à prendre nos jours de repos, ni nos vacances, on est en permanence à flux tendu. Certaines journées, on peut se retrouver à être un infirmier à gérer 14 malades, alors que la règle veut qu'il y en ait 1 pour 2 », explique Vincent. « Et puis, renchérit Séverine, l'administration essaie de faire des économies sur tout. Le matériel médical, comme les masques ou les garrots sont de mauvaise qualité. Mais au final, c'est idiot : on est obligé d'en utiliser deux au lieu d'un seul »… Ces trois blouses blanches restent malgré tout passionnées par leur métier. Mais « la pénurie de main-d'oeuvre est logique. Rien n'est fait pour attirer du monde », explique Vincent qui, au bout de vingt ans de carrière, touche 2 200 € net.
Le blog de la santé, un blog d'information à consulter
Nouveau site santé partenaire. Aperçu d'un des derniers articles :
Guide de l’automédication responsable !
Cet hiver j’ai été invité par l’AFIPA à participer à l’élaboration d’un guide sur l’automédicaiton responsable !
Paris, le 24 juin 2010 – L’Afipa lance un recueil sur le libre accès aux médicaments destiné aux patients et qui sera distribué dans toutes les pharmacies en France. C’est pour décrypter cette nouvelle tendance de consommation favorisant le dialogue avec le pharmacien que l’Afipa a initié une démarche inédite de consultation des différents acteurs de santé du secteur. Ce recueil, « Le libre accès aux médicaments en pharmacie, ils en pensent quoi ? »,
la suite sur http://www.blogdelasante.com/medicament/afipa-guide-automedication-responsable/
La Stérilisation d’hier à aujourd’hui.
Les aperçus historiques sur la stérilisation -d'autant plus quand ils évoquent des souvenirs personnels- sont suffisamment rares pour que nous ne résistions pas au plaisir de vous faire partager ces témoignages :
(source : http://forumed.sante-dz.org/showthread.php?t=16344)
"La Stérilisation d’hier à aujourd’hui.
En Mars 1965, à l’Hôtel-Dieu: seuls le Bloc Opératoire et la salle d’urgence étaient équipés d’un Poupinel et d’un autoclave à vapeur d’eau pour la stérilisation des instruments de chirurgie, des sarraus de Chirurgien et des champs opératoires. La prise en compte des règles d’asepsie faisait déjà partie des préoccupations des Chirurgiens et des équipes soignantes. Par contre, la stérilisation des dispositifs utilisés pour les soins Infirmiers dans les services n’était pas encore une pratique très courante ni reconnue alors comme impérieuse, exception faite des quelques dispositifs invasifs : aiguilles à ponction lombaire, à ponction d’ascite ou pleurale pour lesquels l’asepsie était déjà de règle. • Les plateaux émaillés, les quelques pinces et ciseaux étaient uniquement flambés à l’alcool à brûler juste avant utilisation. L’apprentissage de cette pratique n’était pas sans risque : quel élève Infirmier(e) débutant(e) n’a pas un jour déclenché l’affolement du service pour avoir oublié un flacon d’éther à proximité du lieu de flambage ou ne s’est pas brûlé les doigts pour avoir trop mis d’alcool à brûler dans le plateau ?.. ou n’a pas reçu les foudres du Médecin pour lui avoir donné à la pince à servir un instrument encore brûlant ! • Les 2 seules seringues de 20 ml du service trempaient à demeure avec les aiguilles dans un grand bol d’alcool à 90°. Pratiquer une injection intramusculaire consistait d’abord à bien désinfecter la seringue en aspirant plusieurs fois l’alcool contenu dans le bol et ensuite, à la rincer intérieurement avec de l’eau qui n’avait de stérile que le nom : eau bouillie conservée dans un flacon en verre (quand ce n’était pas du grès) dans lequel plongeait un grand trocart en acier pour y adapter la seringue, le tout recouvert d’un tampon de coton cardé pour préserver l’ensemble des poussières. La difficulté consistait ensuite à récupérer l’aiguille au fond du bol d’alcool sans se piquer les doigts. Souvent, le peu d’alcool contenu dans l’aiguille réagissait avec le médicament qui, soit changeait de couleur, soit précipitait et devenait très visqueux au point de plus pouvoir être injecté au travers de l’aiguille. L’injection réalisée, la seringue et l’aiguille étaient rincées à l’eau claire sous le robinet avant d’être mises à nouveau à tremper dans l’alcool. • Les aiguilles à injection ou prises de sang étaient bien sûr réutilisables et perdaient, au fur et à mesure de leurs utilisations leur pouvoir piquant. Le réaffutage sur la pierre à huile était de tradition confié au bricoleur le plus minutieux du service. • Les tubulures à perfusion en caoutchouc rouge et leur compte-gouttes en verre, de même que les tubulures à lavement en caoutchouc noir étaient mis à bouillir dans l’eau : pas ensemble bien-sûr, mais successivement… dans la même casserole, où elles étaient parfois oubliées : c’était l’odeur de caoutchouc brûlé qui nous signalait alors la fin du traitement ! • Les sondes urinaires en caoutchouc rouge étaient stockées dans des boîtes à gâteau puis trempées quelques secondes dans l’alcool et égouttées sommairement avant cathétérisme. Après dépose, elles étaient lavées au savon de Marseille puis mise à sécher, avant de rejoindre à nouveau la boîte à gâteau. • Les compresses et les bandes de gaze étaient fabriquées par les personnels de nuit à partir de gros rouleaux de pièces de gaze découpés puis pliés ou roulés selon des formats très personnels. Les compresses étaient ensuite minutieusement rangées en éventail dans des boîtes de lait en poudre en aluminium puis confiées au bloc opératoire ou au service des urgences pour être stérilisées, récipient fermé oblige : …au Poupinel ! Point besoin alors de témoin de passage à la stérilisation : le jaunissement et parfois pire des compresses attestait à lui seul qu’elles avaient bien subies l’indispensable traitement. • Les patins (entendez par là les pansements américains), étaient eux aussi confectionnés la nuit à partir de pièces de gaze, de coton hydrophile et de coton cardé. Conditionnés dans des tambours à éclisse récupérés dans les réformes du bloc, ils étaient ensuite stérilisés par autoclave à vapeur d’eau au Bloc Opératoire ou en salle d’urgences. • Les boules de coton étaient roulées manuellement à partir de coton hydrophile non dépeluché présenté en ballots : tâche souvent dévolue au moins ancien dans le grade le moins élevé, qui l’assurait d’office d’une séance d’éternuements et tâche particulièrement redoutable pour les barbus qui prenaient bien vite l’allure du Père Noël. En Juin 1965 , une première campagne de sensibilisation à l’hygiène provoqua une révolution dans ces pratiques : • Fini la trempette des seringues et des aiguilles dans le bol d’alcool : elles devaient subir obligatoirement la stérilisation par Poupinel entre chaque utilisation.
B.M.N Étudiant(e) en Médecine
Genre:
Re : La Stérilisation d’hier à aujourd’hui.
• Bonjour les boîtes de seringues : chaque équipe avait sa boîte : boîte pour l’équipe de matin, pour l’équipe d’après midi et pour l’équipe de nuit. La réalisation de ces boîtes de seringues relevait à chaque fois de l’exploit : les seringues mises à bouillir devaient être réassemblées, et, en l’absence de repère entre le corps de seringue et le piston, ce n’est qu’après de multiples tâtonnements qu’elles étaient enfin appareillées. Le corps et le piston étaient ensuite désassemblés, placés tête bêche et enroulés dans une pièce de gaze. L’organisation de la boîte se faisait par couches successives : une couche de coton, une couche de seringue etc…comme une tartiflette, avec la volonté de bien capitonner les seringues pour surtout ne pas les casser…sans savoir que ce capitonnage nuisait à la conductivité de la chaleur. • Bonjour les boîtes d’aiguilles : toutes les catégories d’aiguilles étaient soigneusement rangées dans la boîte sur une tôle multiperforée qui faisait office de chevalet de rangement et de classification. • Et bonjour les dégâts : l’absence de normalisation de la conicité entre les seringues et les aiguilles nous imposait l’utilisation de tout petits embouts intermédiaires corrigeant les différences de diamètre. Ces embouts, impossibles à prendre et à adapter sur la seringue avec une pince à servir (trempant dans l’alcool) nous ont valu bien des explorations à 4 pattes sous les lits pour les récupérer. Mais plus question de réclamer autre chose : l’achat de toutes ces boîtes et seringues en verre avait largement dépassé les crédits habituellement accordés au service pour ses besoins annuels en petit matériel. Dire qu’il y avait négligence à appliquer de telles procédures : je dirai non puisque chacun le faisait avec la volonté de bien faire, selon les pratiques communes aux établissements de soins de l’époque : époque héroïque où 10.000 unités de Pénicilline par jour étaient une posologie considérée comme largement suffisante pour traiter presque tout type d’infection sévère. Dire qu’il y avait de l’infection : avec le recul oui bien sûr mais pour l’époque, l’abcès de la fesse après piqûre faisait partie du " décor " : trois fois par semaine l’interne du service des urgences incisait les abcès : chacun des trois secteurs d’hospitalisation avait " droit " à une incision sans rendez-vous préalable. Lequel choisir ? c’est la Religieuse du service qui, après les avoir tous tâté du bout du doigt choisissait le " plus mûr " et gérait les priorités. 1969 à 1972 fut une période fertile en changements, y compris en matière de lutte contre les infections nosocomiales : - d’une part : le développement de la chirurgie orthopédique, la chirurgie de plus en plus invasive, l’accroissement du nombre de malades allergiques à la Pénicilline et l’apparition de souches de plus en plus résistantes aux antibiotiques ont obligé les soignants et les praticiens à prendre encore plus en compte les mesures d’hygiène élémentaires. - d’autre part : les progrès réalisés dans la plasturgie, la vulgarisation de l’oxyde d’éthylène et des rayonnements ionisants pour stériliser à basse température les matériaux thermosensibles ont permis aux Laboratoires Pharmaceutiques de nous proposer des dispositifs stériles jetables jusqu’alors impossibles à stériliser par les procédés faisant appel à la chaleur. Les ligatures chirurgicales (catgut, crin, nylon, soie tressée) jusqu’alors achetées en bobine de grande longueur, dont les restes étaient précieusement conservés entre deux interventions dans un bocal d’alcool pour être utilisés jusqu’au dernier centimètre, ont été très rapidement remplacées par des ligatures plus courtes déjà serties sur des aiguilles. Les gants de chirurgien, en caoutchouc épais, lavés et talqués entre chaque intervention voire rapiécés par des rustines en cas de perméabilité ont été abandonnés au profit du gants de chirurgie en latex à usage unique. Les sondes à demeure, les tubulures de perfusion et les drains en caoutchouc ne devaient plus être réutilisés d’un malade à l’autre. Pour mieux satisfaire les exigences de sécurité au niveau asepsie : le flambage des plateaux et des pinces fut abandonné et la stérilisation fut centralisée pour tous les services de Chirurgie, la Radiologie, les Urgences, les Consultations Chirurgicales et plus tard la Réanimation. Dans un local de 20 m2 à peine, un autoclave de dernière génération fut implanté et le local aménagé pour permettre, avec le concours de trois Aides-soignantes, la fabrication des sets de soins prêts à l’emploi sous emballage papier. Pour faciliter la tâche des soignants, la prestation de cette unité a été étendue à la distribution de tous les dispositifs stériles ou non stériles, des pansements, des ligatures et des sondes, et à partir de 1975 : des seringues à usage unique. L’utilisation de la seringue à usage unique était tellement marginale à l’époque que craignant un usage " détourné ", les responsables n’acceptaient de nous commander des seringues neuves qu’en échange nombre pour nombre des emballages vides : la perte d’un emballage de seringue pouvant être perçu comme la preuve d’un détournement et représentait à elle seule la menace d’un retour sans préavis à la seringue en verre. Les Infirmières en exercice professionnel à cette époque se souviennent du temps passé à classer et à compter les emballages par catégories, sans oublier l’obligation parfois de vider les sacs poubelle pour récupérer un emballage jeté par mégarde et manquant à l’inventaire ! Adieu les grosses boîtes d’instruments et les grands tambours de compresses, adieu la pince à servir, l’alcool à brûler et la boîte d’allumettes, et ouf !…adieu les seringues en verre. Sans le savoir, en Mai 1972, l’ Hôpital de Bourg-en-Bresse a inventé non la Stérilisation Centrale mais la CAMSP, toute ressemblance avec ce qui s’est généralisé plus tard à partir de 1974 dans les établissements de soins n’étant que pure coïncidence ! Tous ces changements ne se sont pas faits sans difficultés : jeter toutes ces boîtes et ces tambours, jeter tout ce matériel après usage, jeter tous ces sachets d’emballage, acheter tous ces instruments en inox en remplacement des instruments en acier chromé, acheter tous ces plateaux en plastique, était de prime abord contraire à des réflexes ancrés d’économie et ont même, disons, échauffé quelques esprits, pas forcément des plus anciens à qui on demandait jusqu’alors de tout faire avec peu, mais d’acteurs de soins qui n’avaient sûrement pas saisi l’importance de l’enjeu. A cette époque, les dispositifs stériles et les pansements ne faisaient pas encore partie du monopole pharmaceutique : c’est " l’ Econome " avec l’accord circonstancié du Pharmacien qui gérait les demandes des unités de soins en matériel à usage unique : époque faste où les " crédits supplémentaires " venaient en Septembre s’ajouter au budget primitif, en quantité nécessaire et (plus que) suffisante pour satisfaire les besoins. Epoque bien heureuse pour les services de soins qui voyaient naître et progresser leurs projets sans même attendre parfois l’approbation des budgets. __
B.M.N Étudiant(e) en Médecine
Genre:
Re : La Stérilisation d’hier à aujourd’hui.
1979 fut une étape importante pour le Centre Hospitalier de BOURG avec l’ouverture de l’ hôpital de Fleyriat : un des derniers hôpitaux construit avant l’apparition des rigueurs budgétaires et un bel outil de travail doté d’équipements de dernière génération dont certains même d’avant garde. Le service de stérilisation centrale ne fut pas oublié dans la distribution : renforcement de l’équipe par 3 postes d’Aides-soignantes et un poste d’Infirmière, superficie du service passant de 20 à 320 m2, service confortablement et entièrement équipé de mobiliers et d’équipements fonctionnels reluisants le neuf. Tout était réuni pour centraliser la stérilisation au bénéfice de l’ensemble des unités de soins de Fleyriat et de celles restées sur l’Hôtel-Dieu, en attente de la construction de la deuxième tranche. Un premier objectif du service fut de proposer aux soignants des sets de soins " prêts à l’emploi " contenant le minimum nécessaire de dispositifs pour un soin donné : un soin = un set. Satisfaire par manufacture cette prestation s’est avéré bien vite du domaine de l’utopie : des industriels du pansement ont été contactés pour nous fournir cette prestation mais aucun a été attentif à notre demande. Les bressans, qui par nature ont la tête dure ne capitulent pas devant les difficultés : de là à considérer le service de stérilisation comme une petite entreprise il n’y a qu’un pas : cette originalité nous a conduit bien vite à l’obligation de mécaniser nos moyens de production. En 1982, le Centre Hospitalier innova en faisant d’une part l’acquisition d’une machine de conditionnement qui nous permit non seulement de faire face aux besoins de fabrication de l’époque mais aussi de prendre en charge en 1984 la stérilisation pour le secteur Mère et Enfant sans effectif supplémentaire, mais aussi, en sous-traitant la stérilisation de cette production à une société utilisant le rayonnement ionisant, procédé de stérilisation ne transformant pas les qualités de douceur et d’absorption des pansements comme l’aurait fait la stérilisation par vapeur d’eau. Le deuxième objectif du service fut " la qualité " : même sans avoir formalisé au départ la démarche, cette préoccupation fut à l'origine de décisions importantes qui plaçaient le Centre Hospitalier de Bourg en bon rang et parfois en précurseur dans la recherche de sécurité apportée au malade et dans la gestion économique des dispositifs : remplacement de tous les matériels creux et tubulaires réutilisables difficiles à nettoyer par de l’usage unique, remplacement des champs en coton pour le drapage chirurgical par du non tissé à usage unique, utilisation de sarraus en microfibre pour l’habillage du chirurgien, etc… Ces deux objectifs se sont encore plus concrétisés avec la construction de la CAMSP en 1994, où, en un lieu unique, sont réunis moyens et compétences pour gérer de façon cohérente la prestation stérilisation et dispensation des dispositifs et des pansements : unité dont la centralisation est presque unique en France et que beaucoup d’établissements nous envient, où la qualité s’est étendue au contrôle unitaire sous loupe éclairante de tous les dispositifs invasifs ou à risque avant d’autoriser son recyclage, à la validation des cycles de stérilisation par un logiciel de supervision des cycles d’autoclave développé en partenariat avec le fournisseur, à une mise en place de la traçabilité, et bien sûr, à la formalisation de la démarche assurance qualité sur la base de la démarche de certification, sans pour autant la revendiquer. Que reste-t-il de ces années soixante ? quelques vielles boîtes, vieux tambours et vieux instruments sur un rebord de fenêtre, témoins du temps passé, et des acteurs, toujours là, bon pied, bon œil, avec encore des projets !
Souvenirs d’un cadre supérieur infirmier à l’hôpital de Bourg-en-Bresse J.P. LOUVET "
Infirmière en stérilisation centralisée
Centre hospitalier Intercommunal 'Les Hôpitaux du Léman" 3, avenue de la Dame BP 526 74203 Thonon-les-Bains
Détail de l'offre : Poste proposé : infirmière en stérilisation centralisée
Contrat(s) : Mutation
Descriptif :
infirmière à 100 % en unité centralisée de stérilisation
cette unité gère l'ensemble de la stérilisation de l'établissement
expérience en bloc opératoire souhaitée
Personne à contacter :
Véronique GROS Cadre supérieur de santé Direction des soins 04 50 83 20 28 V-GROS@ch-hopitauxduleman.fr
Annonce déposée le lundi 16 août 2010 devant être pourvue le jeudi 30 septembre 2010 au plus tard.
Probleme humidite residuelle avec autoclave gravitationnel
Cher Monsieur,
j'ai visité avec beaucoup d'intérêt le site http://www.sterilisation-hopital.com découvert au hasard de recherches sur le web.
Je suis confronté au problème suivant, et j'aurais souhaité le poser aux visiteurs de ce site (mais je n'ai pas trouvé le chemin permettant d'y déposer directement un billet). J'apporte un support technique à une ONG belge en territoire Congo RDC, où nous avons installé dans 5 hôpitaux des autoclaves du type "gravitationnel" assez simples d'origine chinoise (http://www.excotramed.be/download/GB-Autoclave%2040%20to%20200%20L.pdf), de principe simple (pas de pompe à vide, pas de condenseur sur la vidange de vapeur), et qui ont le mérite d'être compatibles avec les limitations locales en termes de budget et de puissance électrique disponible. Le linge est placé dans les classiques récipients cylindriques en inox perforé avec éclisses, et des précautions sont prises pour ne pas trop tasser le contenu et garder un espace de circulation entre les récipients et la cuve de l'autoclave.
Malheureusement, une fois les appareils installés, nous avons eu quelques commentaires négatifs sur l'humidité résiduelle et la présence de goutelettes d'eau sur le linge opératoire en sortie.
Un débat s'est tout d'abord ouvert sur le point "ces goutelettes d'eau (qui sont finalement de la vapeur stérile condensée) rendent-elles la stérilisation ineffective ?" et n'a pas encore fait jusqu'ici l'unanimité. Qu'en pensez-vous ?
Aussi (peut être y a-t-il parmi vous des personnes qui ont encore pratiqué dans le passé la stérilisation avec des autoclaves gravitationnels et qui pourraient apporter une réponse ou faire part de leur expérience ?), j'ai du mal à comprendre ces plaintes sachant que ce genre d'autoclave (parfois dans un modèle encore plus simplifié) est utilisé depuis des décennies en Afrique et n'a jamais suscité à ma connaissance de débat contestataire.
Merci d'avance pour toute aide ou conseil sur le sujet.
Roland HENSENS Ingénieur Biomédical
MSV-AZV Médecins Sans Vacances Rode Kruisplein 16 B-2800 Mechelen BELGIUM www.artsenzondervakantie.be www.medecinssansvacances.be
8 juin 2010, 10H10
Bon anniversaire Christophe !
Usine Aesculap, J2
Le deuxième jour de notre séjour à Tuttlingen, nous avons continué la visite de l'usine Aesculap. Au programme, la fabrication robotisée et ultra-moderne de prothèses pour l'ensemble de la planète et le tout nouveau centre d'expédition mondial. Impressionnant ! Nous avons également visité le musée de la chirurgie, organisée autour de l'hygièene (avec donc quelques autoclaves), de l'anesthésie et de l'instrumentation chirurgicale depuis les origines dont voici quelques images :
Et les photos des concepteurs d'instruments qui partagent notre quotidien : Alfred Hegar Ernst Wertheim, William Steward Halsted, Theodor Kocher, Bernhard von Langenbeck, Jules Péan...
L'usine Aesculap de Tuttlingen
A Tuttlingen, Aesculap a historiquement et fonctionnellement une place privilégiée . Regardez par exemple ce bus municipal :
La première journée, nous avons été accueillis à l'Aeculapium .
Evidemment, certaines ont été plus sensibles que d'autres à cette entrée dans le temple de l'instrumentation... ;o)
L'histoire, la politique économique, sociale, environnementale et la démarche qualité de l'entreprise B.Braun Aesculap nous ont été exposées. Nous avons visité l'usine de fabrication d'instruments chirurgicaux (un savoir-faire technique manuel qui m'a personnellement beaucoup impressioné), les laboratoires de contrôle pour l'approvisonnement de l'ensemble des usines du groupe dans le monde. Pas de photos malheureusement. Nous avons également parcouru le show-room Aesculap, avec la majeure partie des références d'instrumentation, un rêve pour qui apprécie les beaux intruments.
"Aesculap-Werke aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie
Aesculap AG, Tuttlingen Unternehmensform Sparte der B. Braun Melsungen AG Gründung 1867 als Produktionswerkstatt für chirurgische Instrumente Unternehmenssitz Tuttlingen, Deutschland Unternehmensleitung
* Hanns-Peter Knaebel, Vorstandsvorsitzender
Mitarbeiter
rund 8.500 (2009)1 Umsatz
1.098,2 Mio. EUR (2008)2 Branche Medizintechnikunternehmen (Chirurgische Instrumente) Website
www.aesculap.de
Die Aesculap AG ist das größte Unternehmen Tuttlingens und stellt Medizinprodukte und Medizintechnik, speziell für die Chirurgie her.
Aesculap ist eine Sparte des B. Braun-Konzerns. Der Umsatz der Sparte Aesculap erreichte im Geschäftsjahr 2008 1.098,2 Millionen Euro, eine Steigerung von 7,3 Prozent gegenüber dem Vorjahr (29,0 % vom Gesamtumsatz).
Das Produktprogramm reicht von der allgemeinen Chirurgie über die Arthroskopie und Orthopädie (Gelenkimplantate, Osteosynthese, Motorensysteme) bis hin zu den Spezialdisziplinen Mikro-Neurochirurgie, Wirbelsäulenchirurgie, Herz-Thorax-Gefäßchirurgie, Kieferchirurgie, Gynäkologie, Abdominalchirurgie, Urologie und HNO. Inhaltsverzeichnis
* 1 Geschichte o 1.1 1867 bis 1914 o 1.2 1914 bis 1946 o 1.3 1946 bis 1999 o 1.4 1999 bis heute * 2 Weblinks * 3 Einzelnachweise
Geschichte
1867 bis 1914 Firmengebäude am Bahnhof Tuttlingen
1867 richtete Gottfried Jetter eine Werkstatt ein und begann mit der Herstellung chirurgischer Instrumente und legte damit den Grundstein für das heutige Unternehmen AESCULAP. 1873 stellte Jetter mit anderen Tuttlinger Messerschmieden seine Produkte auf der Wiener Weltausstellung aus. Bis 1878 stieg die Belegschaft auf 120 Mitarbeiter.
1887 machte Jetter seine beiden Schwager Wilhelm und Karl Christian Scheerer zu gleichberechtigten Teilhabern. Die Firma hieß nun Jetter & Scheerer. 1889 wird in Berlin die erste Filiale eröffnet und gleichzeitig wurde der Schlangenstab mit Krone als Warenzeichen eingetragen. 1893 wurde die Zweigniederlassung in New York City gegründet. Die Umwandlung der Firma in Aktiengesellschaft für Feinmechanik vormals Jetter & Scheerer wurde 1895 vollzogen. Im selben Jahr wurde die Eröffnung einer Vertretung in London gegründet. Von 1898 bis 1899 wurde die bis heute existierende neue Fabrik am westlichen Stadtrand Tuttlingens gebaut. 1899 wird der Markenname AESCULAP angemeldet. 1914 betrug der Versandumsatz 5,3 Mio Mark. 1.751 Mitarbeiter waren beschäftigt.
1914 bis 1946
Während des ersten Weltkriegs wurde die Produktion teilweise auf Kriegsmaterial umgestellt. Durch Einberufungen ging die Belegschaft auf rund 1.000 zurück. Trotzdem wurde 1915 das Werksareal für das 50-jährige Bestehen von 1917 ausgebaut. 1923 fand ein weiterer Ausbau des Werksareals mit Bau von Werkswohnungen und einem Gleisanschluss statt. 1929 erreichte die Expansionsphase mit 7,6 Mio Mark Versandumsatz, 1.800 Mitarbeitern und einer Exportquote von 73,14 % ihren Höhepunkt. Ab 1939 wurde der Umsatz nach der Depression durch die Weltwirtschaftskrise durch deutsche Militäraufträge gesteigert: Das Unternehmen wurde im Zweiten Weltkrieg zur Produktion von Munitionsteilen eingesetzt. Von 1945 bis 1946 war das Werk durch französische Truppen besetzt.
1946 bis 1999
Das Unternehmen kämpfte in den 1950er Jahren ums Überleben. Erst weit in die 1960er Jahren erholte sich das Unternehmen wieder von den Einschnitten des Zweiten Weltkriegs, erst in den 1970er Jahren wurde von den Hauptgebäuden der Kriegs-Tarnanstrich entfernt. 1969 wurde die "Aktiengesellschaft für Feinmechanik" in "AESCULAP-Werke Aktiengesellschaft vormals Jetter & Scheerer" umfirmiert. Als Reaktion auf Billigprodukte aus Pakistan eröffnete Aesculap 1973 eine Produktionsstätte in Penang, Malaysia. Dort arbeiten 179 Mitarbeiter. Der Umsatz stieg so um 18,2 % auf 87,9 Mio DM. 1976 wurde B. Braun Melsungen AG Mehrheitsaktionär. Ein Jahr später wurde die AESCULAP Instruments Corp. in South San Francisco gegründet. 1983 wurde Michael Ungethüm, bisheriger Forschungsvorstand von Aesculap, zum Vorstandsvorsitzenden ernannt, der maßgeblich an der Modernisierung des Unternehmens mitwirkte.
Nach der Gründung 1986 der AESCULAP Japan Co. Ltd. in Tokio hatte der Konzern 2.676 Beschäftigte.
In den folgenden Jahren wuchs der Konzern weiter: Meditec, eine Laser-Firma, und zwei Chirurgie-Hersteller in England kamen hinzu. Die Firma hieß nun AESCULAP AG. 1994 wurde der Anteilsbesitz der B. Braun Melsungen AG auf deren 100%ige Tochtergesellschaft B. Braun Surgical GmbH (BBS), Melsungen, übertragen. Drei Jahre später wurde die ehemalige Aesculap AG durch Eintragung im Handelsregister Tuttlingen am 17. März 1997 formwechselnd in die AESCULAP AG & CO. KG umgewandelt.
1999 bis heute
Der Anteilsbesitz der B. Braun Surgical GmbH wurde auf rund 99,5 % gesteigert, womit eine komplette Einbindung von Aesculap in B. Braun stattfand. Im Jahr 2001 eröffnete das Unternehmen als bislang letzte Erweiterung die sogenannte Benchmark Factory. Im Jahre 2008 wurde die Eintragung im Handelsregister Stuttgart formwechselnd in die AESCULAP AG umgewandelt.
Aesculap-Werke Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre Aller à: Navigation, Recherche Aesculap AG, Tuttlingen la structure des entreprises Division des B. Braun Melsungen AG Fondateur 1867 comme un atelier de production pour les instruments chirurgicaux Siège social Tuttlingen, Allemagne Gestion
* Knaebel Hanns-Peter, Chef de la direction
Employé
8500 (2009)1 Chiffre d'affaires
1098200000 EUR (2008)2 Affaires Compagnie médicale (Instruments chirurgicaux) Site Web
www.aesculap.de
Le Aesculap AG est la plus grande entreprise Tuttlingen et fournit des Dispositifs médicaux et MédicalSpécifiquement pour le Chirurgie il ya.
Aesculap est une division de B. BraunGroupe. Les ventes de la division Aesculap a atteint 1,0982 milliards € en 2008, soit une augmentation de 7,3 pour cent par rapport à l'année précédente (29,0% du total).
La gamme de chirurgie générale à l'arthroscopie et Orthopédie (Prothèses articulaires, ostéosynthèse, les systèmes à moteur) pour les disciplines spéciales des micro-neurochirurgie, la chirurgie du rachis, les maladies cardio-thoracique chirurgie vasculaire, chirurgie maxillo-faciale, Gynécologie, Chirurgie abdominale, Urologie et ENT. Contenu
* 1 Histoire o 1.1 1867-1914 o 1.2 1914-1946 o 1.3 1946-1999 o 1.4 1999 à aujourd'hui * 2 Références * 3 Références
Histoire
1867-1914 Société de construction sur Bahnhof Tuttlingen
1867 prévoyait Gottfried Jetter un atelier et a commencé la fabrication d'instruments chirurgicaux et ainsi posé la première pierre de l'entreprise actuelle Aesculap. 1873 Jetter placés avec d'autres couteliers Tuttlingen ses produits à la Convention de Vienne exposition mondiale OUT. Jusqu'en 1878, l'effectif est passé à 120 employés.
Jetter 1887 que son frère William et deux Karl Christian Scheerer à devenir des partenaires égaux. La compagnie est maintenant appelée Jetter & Scheerer. En 1889, Berlin La succursale a ouvert ses portes dans le même temps, la couronne serpent avec une marque enregistrée. En 1893, la branche New York City fondée. La transformation de la société en Société pour l'ingénierie de précision précédemment Jetter & Scheerer a été achevée 1895e Dans la même année a été l'ouverture d'une représentation dans Londres fondée. De 1898 à 1899, la nouvelle usine construite à ce jour existe à la périphérie ouest de Tuttlingen. 1899 est le nom de marque AESCULAP enregistré. 1914 a été l'expédition 5,3 millions de ventes marque. 1751 personnes étaient employées.
1914-1946
Au cours de la Première Guerre mondiale la production a été partiellement transformé en matériel de guerre. Grâce à des réunions du personnel a été d'environ 1.000. Néanmoins, en 1915, la zone de travail pour le 50e anniversaire de 1917 a été élargie. 1923, une nouvelle extension de la zone de travail a été sur la construction de logements d'entreprise et une liaison ferroviaire à la place. 1929 a atteint la phase d'expansion, avec des recettes de transit 7,6 millions marques, 1.800 employés et un quota d'exportation de 73,14% son apogée. A partir de 1939, les ventes de la dépression après la Dépression renforcée par des contrats militaires allemands: La société a été créée pendant la Seconde Guerre mondiale pour la production de pièces de munitions. De 1945 à 1946, l'usine a été occupée par les troupes françaises.
1946-1999
La société lutté pour la survie dans les années 1950. Ce n'est que dans les années 1960, l'entreprise récupérée par les réductions de Seconde Guerre mondiale, Jusqu'aux années 1970, a été retiré des bâtiments principaux du camouflage de guerre. En 1969, la "Société pour la mécanique de précision» dans «AESCULAP-Werke Aktiengesellschaft a été renommé autrefois Jetter & Scheerer. En réponse à Bon marché à partir de Pakistan Aesculap a ouvert une usine de fabrication à Penang en 1973, Malaisie. 179 employés y travaillent. Le chiffre d'affaires a augmenté de 18,2% à 87,9 millions de DM en 1976 Melsungen AG B. Braun actionnaire majoritaire. Un an plus tard, le AESCULAP Instruments Corp. dans South San Francisco fondée. 1983 Michael monstre, Ancien directeur scientifique d'Aesculap, nommé chef de la direction, qui a aidé rôle clé dans la modernisation de la société.
Après sa création en 1986 de AESCULAP Japan Co. Ltd. dans Tokyo le Groupe avait 2676 employés.
Dans les années suivantes, le Groupe a continué de croître: Meditec, une société de laser, la chirurgie et deux-producteur Angleterre ont été ajoutés. La compagnie est maintenant appelée Aesculap AG. En 1994, l'actionnariat de la B. Braun Melsungen AG sur son détenue à 100% filiale B. Braun Surgical GmbH (BBS), a été transféré Melsungen. Trois ans plus tard, l'ex-Aesculap AG par l'inscription dans Commercial Tuttlingen, 17 Mars 1997 sous la forme change AG AESCULAP & CO. KG convertis.
1999 à aujourd'hui
L'actionnariat de la B. Braun GmbH chirurgicale a été augmenté à près de 99,5%, résultant en une intégration complète de Aesculap en B. Braun a eu lieu. En 2001, il a ouvert à l'extension la plus récente de la soi-disant Benchmark Factory. En 2008, l'entrée dans le Commercial Stuttgart sous la forme juridique Aesculap AG convertis."
Voyage a Tuttlingen, le B.BRAUN AESCULAP tour !
J'ai eu le plaisir d'être invité à Tuttlingen, ville allemande de 35 000 habitants située dans région de Bade-Wurtemberg, par le laboratoire B.Braun. Im Herzen eines Clusters - im Zentrum der Medizintechnikbranche
"Das Herz der Medizintechnikbranche...schlägt in Tuttlingen!
Über 400 Medizintechnikunternehmen mit rund 8.000 Beschäftigten arbeiten in Europas größtem Medizintechnikcluster an innovativen chirurgischen Instrumenten und modernsten Implantattechnologien. Die großen und zahlreichen kleineren Unternehmen der Medizintechnikbranche, der Lebensmittel- und Genussmittelherstellung, des Maschinenbaus und aus dem unternehmens-orientierten Dienstleistungsbereich machen Tuttlingen zu einer vitalen Stadt mit rund 21.000 Arbeitsplätzen, täglich 12.000 Einpendlern und gesunden Strukturen.
Eine wichtige Rolle kommt der Stadt Tuttlingen auch als Versorgungszentrum eines Marktgebiets von über 100.000 Menschen zu: Die über 95.000 qm Einkaufsfläche in der Innenstadt und den Handelsgebieten sorgen für Vielfalt beim Einkaufen.
Für viel Atmosphäre sorgt der zweimal in der Woche, montags und freitags, stattfindende traditionelle Markt in der Innenstadt.
Stolz ist Tuttlingen auf das große Bildungsangebot mit mehr als 5.000 Schülern, seinen in Deutschland einmaligen Hochschulcampus und die International Business School Tuttlingen, die einen herausragenden Master of Business Administration anbietet.
Hochschulcampus Tuttlingen
Lebensqualität in Tuttlingen Mit seiner reizvollen Lage an der Donau und der alten Burgruine auf dem mitten in der Stadt gelegenen Berg bietet der Standort genau das richtige Ambiente für ein großzügiges Kulturprogramm. Im Sommer locken Festivals und Veranstaltungen im Grünen, in der kälteren Jahreszeit sorgen die Tuttlinger Hallen für einen geeigneten Rahmen und Räumlichkeiten.
Für die Freizeit bietet Tuttlingen eine breite Palette an Möglichkeiten: Ob eher sportlich im Kanu auf der Donau unterwegs, klassische Konzerte oder das sommerliche Open-Air-Programm – hier kann jeder etwas für sich entdecken.
Wer nach Tuttlingen kommen möchte, kann das schnell über die Autobahn A 81 tun – oder sich im ICE dort hinfahren lassen. Wer den Weg über die Luft bevorzugt, auf den wartet die asphaltierte Landebahn im Gewerbepark Take-off.
Le cœur de l'industrie des dispositifs médicaux ...bat à Tuttlingen!
Plus de 400 société de technologie médicale, avec environ 8.000 employés travaillent dans le plus grand centre de technologie médicale, d'élaboration d'instruments chirurgicaux innovateurs et des technologies de l'implant les plus avancées d'Europe. Les grandes entreprises et de nombreux plus petits dans le secteur médical, de nourriture et de boissons, l'ingénierie mécanique et de l'entreprise axée sur le secteur des services fait de Tuttlingen une ville vivante avec quelques 21.000 emplois, 12 000 usagers quotidiens et structures en bonne santé.
Un rôle important pour la ville de Tuttlingen ainsi que d'un centre d'approvisionnement d'une zone de marché de plus de 100.000 personnes: plus de 95.000 m² de surface de vente au détail au centre-ville et zones commerciales permettent de varier lors de vos achats.
Pour une grande partie de l'atmosphère fournit deux fois par semaine, les lundis et vendredis, a organisé un marché traditionnel dans le centre-ville.
Tuttlingen est fière d'offrir une excellente éducation avec plus de 5.000 étudiants, son campus universitaire International Business School Tuttlingen, unique en Allemagne, offre un exceptionnel Master of Business Administration.
La qualité de vie à Tuttlingen Grâce à sa situation pittoresque sur le Danube et les ruines du vieux château au cœur de la ville située à l'emplacement de montagne fournit juste la bonne ambiance pour un généreux programme culturel. Dans les festivals d'été et d'événements en plein air, pendant la saison froide, les salles de Tuttlingen fournit un cadre approprié et des locaux.
Pour les loisirs Tuttlingen propose une large gamme de possibilités: plus athlétique dans le canot sur le Danube sur le chemin, concerts de musique classique et de l'été Open-airProgramme - ici vous pouvez découvrir pour tous les goûts.
Qui veut venir à Tuttlingen peut le faire rapidement sur l'autoroute A 81 - ou aller à la CIE de cette façon. Ceux qui préfèrent la voie à travers les airs, sur la piste en dur d'attente pour le décollage dans le parc industriel."
Etaient invités des IBODE de Poissy, Ariane, Isabelle, Marie-Christine, de Saint-Germain, Chantal, Suzanna, Sylvie et le cadre de santé du bloc et trois personnes de la clinique Mathilde de Rouen. Nous avons été accueillis royalement et guidés avec beaucoup de compétence par Nicolas BARTHOD et Oliver AUPETIT, de l'Aesculapium au musée de la chirurgie, en passant par les usines Aesculap
6èmes Journées Nationales Suisses sur la stérilisation
« Il n’y a pas de problème,
que des solutions »
6èmes Journées Nationales Suisses
sur la stérilisation
Fribourg, 9 - 10 juin 2010
> introduction
Antoine de Saint-Exupery se plaisait à inviter aux réflexions suivantes : dans la vie, il n’y a pas de solutions.
Il y a des forces à mettre en marche. Il faut les créer et les solutions suivent.
Le retraitement des dispositifs médicaux stériles répond aux principes d’assurance qualité : responsabilité,
formation, protocoles, enregistrements, validations, analyses de risques.
Le sociologue Daniel Bell propose de distinguer trois dimensions de nos sociétés cognitives : les données,
l’information et le savoir. C’est un fil rouge qui rythmera les journées.
Le Savoir permet de répondre favorablement aux exigences des Bonnes Pratiques, et délimite le périmètre
de l’exercice professionnel.
Et pourtant, nous sommes confrontés quotidiennement à différents problèmes, requérant diverses solutions,
mobilisant de multiples ressources et engageant nos compétences dans la construction des actions
correctives ou préventives.
Les 6èmes Journées Nationales Suisses sur la Stérilisation invitent les orateurs à témoigner de leurs expériences
pratiques, et les participants à enrichir les débats.
Comment concilier les exigences techniques, décrites dans les guides d’application, avec la réalisation
quotidienne ? Comment innover sans créer de désordre dans un processus normé ? Comment s’adapter
sans accepter de remettre en question les fondements de la formation ou susciter la confiance des Autres ?
Comment analyser une situation sans recueils de données objectives ou sans diagnostic éclairé ?
La survenue d’un problème est toujours une destruction créatrice, et conduit souvent à une redistribution
des rôles et des responsabilités.
Sartre admet que l’action historique ne s’est jamais réduite à un choix entre les données brutes, mais
elle a toujours été caractérisée par l’invention de solutions nouvelles à partir d’une situation définie.
Comment restructurer un service de stérilisation centrale ? Comment répondre aux besoins de clients
spécifiques ? Comment favoriser l’activité quotidienne des collaborateurs ? Comment assurer avec soin
et exactitude le retraitement de certains dispositifs médicaux spécifiques ?
Convivialité, échanges, accompagnement, écoute, collégialité, ouverture : ces 6èmes JNSS posent-elles un
problème ?
Assurément, je vous propose une solution : venez nombreuses et nombreux, et prenez le temps de la
Connaissance, des autres, et qui sait, de vous-même peut-être ?
Albert Einstein précisait qu’aucun problème ne peut être résolu sans changer l’état d’esprit qui l’a engendré…
Je reprends alors bien volontiers la maxime de notre cher Président de la SSSH, Monsieur Frédy Cavin :
au travail, chers collègues, et invite tous nos orateurs à cultiver l’evidence based practice, partagée par
Monsieur Wim Renders, Président de la WFHSS.
Je ne saurai conclure sans remercier nos fidèles sponsors, partenaires essentiels
de l’organisation de ces Journées.
Hervé Ney
Membre du Comité Central SSSH/SGSV/SSSO
> programme
Mercredi 9 juin 2010
Dès 08.30 Accueil, café. Les exposants vous attendent
09.30 Introduction (F)
Frédy Cavin, Président
12.30 - 14.00 Repas
17.00 Fin de la journée
Des pauses sont prévues le matin et l’après-midi
17.15 Assemblée générale ordinaire de la SSSH
Frédy Cavin, Président de la SSSH
19.30 Soirée conviviale
Matinée Directive 2007/47/CE : ses effets sur l’Ordonnance sur les dispositifs médicaux et sur
les normes (A)
Markus Weiss (Swissmedic, Département DM)
Nettoyage des instruments creux : le niveau d’assurance de propreté est-il garanti ? (F)
Hervé Ney (Responsable stérilisation centrale des HUG, Genève)
La nouvelle 17665-1 : suivez le guide ! (A)
Norma Isabel Hermann (Responsable stérilisation centrale, Hôpital de l’Ile, Berne)
Optimiser les performances d’une stérilisation (F)
Martine Marchand (Responsable stérilisation Clinique Générale Beaulieu, Genève)
Table ronde. Sujets discutés le matin
Animateur: Frédy Cavin (Président de la SSSH/SGSV/SSSO)
Après-midi Nouveau concept de stérilisation des Cliniques de médecine dentaire de l’Université de
Genève (A)
Professeur Ivo Krejci (Président section médecine dentaire, Chef de la division Cariologie
et Endodontie, CMU, Genève)
Validation annuelle des stérilisateurs : comment impliquer les utilisateurs tout en garantissant
l’expertise requise ? (F)
Stéphane Mayor (Pully)
La problématique de l’entretien et de la maintenance des conteneurs à la Clinique des
Tilleuls (F)
Jasmine Faul (Responsable stérilisation Clinique des Tilleuls, Bienne)
Les cours d’assistant technique en stérilisation permettent-ils de résoudre les problèmes
de formation du personnel technique et des exploitants des services de retraitement
des DM ? (A)
Marion Peissker (Présidente DGSV, Allemagne)
Des taches sur les instruments : un exemple de procédure pour en déterminer les causes (F)
Rosa Da Veiga (Responsable stérilisation centrale de Biasca)
Table ronde. Sujets discutés ce jour
Animateur : Raymond Jourdain (Membre du Comité Central SSSH/SGSV/SSSO)
> programme
Jeudi 10 juin 2010
Dès 08.30 Accueil, café. Les exposants vous attendent
09.30 Introduction (F)
Frédy Cavin, Président
12.30 - 14.00 Repas
16.10 Fin de la journée
Une pause est prévue le matin
Matinée Stérilisation hospitalière : expérience de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V
de Rabat, Maroc (F)
Soufiane Derraji (Pharmacien des forces armées royales, Maroc)
Reprise d’activités de retraitement - Un véritable challenge pour tous ! (F)
Guido Saerens (Responsable stérilisation centrale Hôpital cantonal Fribourg)
Panne de plus de 24 heures, que faire ? (F)
Frédy Cavin (Responsable stérilisation centrale CHUV, Lausanne)
Certification QM dans la Stérilisation centrale : comment gérer certains défis spécifiques ? (A)
Anke Carter (Membre du Conseil de la DGSV, Allemagne)
Maren Engelmann (Conseillère-qualité Soins, Allemagne)
Table ronde. Sujets discutés le matin
Animateur : Antonio Di Iorio (Membre du Comité Central SSSH/SGSV/SSSO)
Après-midi Les modèles industriels d’organisation du travail peuvent-ils nous inspirer ? (F)
Christine Denis (Pharmacienne responsable secteur stérilisation, France)
Une centrale de stérilisation : au coeur des utilisateurs (F)
Guy Meyrier (Responsable référent stérilisation centrale, GHOL Nyon)
Le « miracle bleu » (A)
Conférencier - surprise
Table ronde. Sujets discutés ce jour
Animatrice : Esther Michaud (Présidente de la SSSH/SGSV/SSSO, section Suisse alémanique)
> conditions et inscription
Frais d’inscription
Membre SSSH/SIPI Non-membre SSSH/SIPI
2 jours CHF 125.– CHF 180.–
1 jour CHF 75.– CHF 135.–
Soirée conviviale : CHF 90.–
Ces prix s’entendent TVA comprise.
Le bulletin de versement vous parviendra avec la confirmation de votre inscription.
Le paiement doit se faire avant la manifestation.
Délai d’inscription : 25 mai 2010
> renseignements pratiques
Dates Mercredi 9 et jeudi 10 juin 2010 Lieu Forum Fribourg - Centre d’expositions, de conférences et de congrès Route du Lac 12, 1763 Granges-Paccot (le plan d’accès sera envoyé avec la confirmation d’inscription).
Emballages de stérilisation, étude.
"Nous recherchons des techniciens et des responsables en stérilisation /approvisionnement ainsi que des infirmières et des responsables de bloc opératoire pour participer à une étude médicale.
Le but de cette étude est de comprendre votre expérience concernant les emballages de stérilisation utilisés.
L’étude se déroule sous la forme de groupes d'une durée de 60 minutes le jeudi 4 mars et vendredi 5 mars 2010 à Paris 8ème. ( de 19h à 20h et de 20h30 à 21h30)
Les techniciens et les responsables en stérilisation /approvisionnement ainsi que les infirmières et les responsables de bloc opératoire désirant participer doivent nous contacter Lucie Decreton au 01 43 38 89 22 - lucie.decreton@cyble.com ou FABIENNNE BEAUFUME au 01 43 38 89 21 - fabienne.beaufume@cyble.com
En remerciement de votre participation nous vous remettrons 60€ en chèque bancaire.
Si vous avez des questions supplémentaires concernant cette étude, veuillez nous contacter Lucie Decreton au 01 43 38 89 22 Fabienne Beaufumé au 01 43 38 89 21
Merci. En espérant que ce courrier aura retenu votre attention.
Cordialement, Lucie Decreton, Fabienne Beaufumé"
Une nouvelle association pour les agents de stérilisation
Cette association s'étant exprimée dans un commentaire, nous vous présentons son argumentaire, dans l'attente de plus d'informations :
"Depuis aout 2009 AFASTE est née Association Française des Agents de STErilisation Un groupe composé d'agents de stérilisation de formation de base différente et d'horizons différents, de pharmaciens experts, d'IBO et de cadre IBODE( 10 personnes) forment AFASTE Cette association nouvellement crée à pour objectifs de rendre les agents de stérilisation Acteurs pour
- Promouvoir leur fonction d’ « agent de stérilisation »
- Uniformiser leur formation
- Représenter les agents de stérilisation auprès des instances et congrès
- Partager les expériences en organisant des ateliers de travail
Si vous voulez adhérer a AFASTE , ecrivez nous infos@afaste.fr"
Sachet dans l'autoclave, le dernier volet de la trilogie ?
Après le succès mondial de
Autoclave : les sachets dans un stérilisateur à vapeur d'eau et de
Stérilisateur : le retour des sachets
nous vous présentons le dernier volet de la trilogie avec celle qui sera surement la nouvelle star de la saga, la cupule inox de 750 ml !
Autoclaves recyclés
Une solution d'avenir pour mieux stériliser le matériel là où des solutions satisfaisantes font actuellement défaut ?
Stérilisation industrielle à l'oxyde d'ethylene
Controles du prétraitement à la désorption en passant par la stérilisation proprement dite :
Sterilisateurs au gaz plasma par Cisa
Le concept de la stérilisation au gaz plasma à partir de peroxyde d'hydrogène décliné par le fabricant d'autoclave Cisa :
Ca bouge en stérilisation
Réaménagement d'un service de stérilisation (nous ignorons par contre où il se trouve) :
Bloc opératoire et service de stérilisation de l'hopital de Bota au Cameroun
Nous nous plaignons parfois de nos équipements...
Peut-on garantir un entretien correct du matériel de Phacoémulsification ?
Tout service de stérilisation traitant le matériel d'ophtalmologie et plus précisément de la chirurgie de la cataracte est confronté aux mêmes difficultés. La fragilité de l'instrumentation type capsulorhexis, pince de Bonn, colibri, micromanipulateur, et l'absence de clarté des préconisations de recyclage des pièces à main US (ultrasons) et I/A (irrigation / aspiration). Nous nous permettons donc de relayer l'excellent travail mené par Christophe LAMBERT, du C.H. de Chambéry, sur le traitement des pièces à main de phacoémulsification. Ce travail a été présenté aux dernières Journées de Stérilisation, à Marseille, en avril dernier. Nous l'avons consulté avec beaucoup d'intérêt. Vous trouverez en bas de billet le lien vers l'article original dont voici le plan :
- Principales étapes de la chirurgie de la cataracte
- L’instrumentation de la chirurgie de la cataracte
- Principaux instruments
- Pièces à mains (ultrasons et I/A)
- Les protocoles des fabricants
- Enquête nationale des pratiques d’entretien
- Protocole d’entretien harmonisé
PAM_Phako_JNES_2009_C__Lambert.pdfPAM Phako JNES 2009 C_ Lambert
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